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    Qui aime aller chez le dentiste ?

Un chœur, hérité des tragédies classiques, nous fait pénétrer dans l’intimité du cabinet du Dr Spodek.

Un petit garçon, devenu narrateur se souvient des séances trop fréquentes après guerre chez le dentiste où l’emmenait sa mère.

Mais le dentiste et sa femme vivaient une tragédie personnelle autrement plus pénible.

Avec émotion, humour et tendresse, Jean-Claude Grumberg évoque ces parents orphelins de leurs enfants, face à leur deuil impossible.

Mise en scène : Daniel FERRAS

Assistante mise en scène : Laurence BOISOT
Lumière : JACKO
Décor : Jacques CANON
Musique : Sébastien BROSSILLON
Son : Laurent FICHEPAIN
 
 

Distribution :  Khadija BARIA, Marc AUBRY,

Laurent CROSNIER, Michèle LOYER

"VERS TOI TERRE PROMISE"  a été présentée :

 
Mercredi 28 octobre 2015 à 21h à Saint Cyr sur Loire (37)
Mardi 27 octobre 2015 à 20h30 à Esvres-sur-Indre (37)
dans le cadre du festival régional de théâtre, Festhéa
A obtenu en final le 1er prix " La Tour d'or"
 
 
Vendredi 27 mars 2015 à 20h30 à l'Espace Quinière à Blois
dans le cadre du festival régional de théâtre, Festhéa
A obtenu le 1er prix du jury
 
Samedi 31 janvier 2015 à 20h30
Dimanche 1er février 2015 à 17h
Mardi 3 février 2015 à 20h30
au Théâtre Nicolas Peskine à Blois
 
Samedi 15 novembre 2014 à 20h30
Dimanche 16 novembre 2014 à 17h
à La Maison Bégon à Blois
 

La Nouvelle République

Loir-et-Cher – Blois - Théâtre

 

Entre émotion, tendresse ironie et humour...

 

20/11/2014

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un quatuor d'excellents comédiens.

 

Les deux représentations théâtrales programmées à la Maison de Bégon ont remporté un égal succès. Les organisateurs craignaient que les derniers événements ne dissuadent le public de se déplacer dans les quartiers nord. Il n'en a rien été. Bien heureusement pour le théâtre de l'Epi qui présentait Vers toi terre promise, une pièce « sucrée-salée » de Jean-Claude Grumberg, aux répliques saillantes, toujours sur le fil du rasoir, entre émotion, tendresse, ironie, humour.

Même si a priori, le sujet ne portait pas à rire. Il raconte la douleur indicible, le chagrin, la foi, l'espérance, de parents « orphelins » de leurs filles. L'une morte en déportation, l'autre cachée dans un couvent depuis l'Occupation, et qui refuse de les revoir. Si le public a parfois dû retenir ses larmes, il a aussi beaucoup ri. Un sujet délicat habilement mis en scène par Daniel Ferras, et excellemment porté par la justesse et l'humanité du quatuor de comédiens. 

 

Cor. NR : M.C.

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